Rechercher dans ce blog

vendredi 6 décembre 2013

Article de MotoGP.com disponible ici


En tête à tête avec Valentino Rossi

A Post-season Catch-up: Valentino Rossi
jeudi, 5 décembre 2013

De retour chez Yamaha Factory Racing cette année, le nonuple Champion du Monde Valentino Rossi n’a remporté qu’une victoire, à Assen, mais compte repartir à l’assaut de la plus haute marche du podium l’an prochain.

Valentino, 2013 a été une saison faite de hauts et de bas. Mercredi soir tu étais à Milan avec Yamaha pour dresser le bilan…
« Oui, c’était une belle soirée, nous étions tous réunis et nous avons pu revenir sur notre saison, il y a eu de bons moments et de belles vidéos à regarder. Je dois dire que nous avons fait une très bonne saison, avec beaucoup de bonnes courses, mais nous avons effectivement connu des hauts et des bas. L’année a été difficile et au final j’espérais être plus compétitif et me battre plus souvent pour le podium. Nous avons parfois poussé trop fort, d’autres fois ce n’était pas possible mais nous réessayerons l’an prochain. »
Quels seront tes objectifs pour 2014 ?
« Nous devons tout d’abord prendre un peu de repos et recharger les batteries afin d’être prêts pour l’an prochain. L’objectif sera de faire mieux, d’être sur le podium plus souvent, d’essayer de remporter quelques courses et nous verrons le reste suivant le déroulement de la saison. »
Il y a eu des rumeurs concernant ta retraite mais tu as récemment affirmé qu’il s’agissait d’un malentendu…
« Il n’y avait pas de malentendu ! C’était très clair mais ils ont tourné la news de façon à créer des rumeurs ! J’ai encore un an de contrat et je veux continuer après avec un autre contrat de deux ans. Mais il faudra que je sois rapide et compétitif. Je prendrai donc ma décision l’an prochain. »
As-tu demandé quelque chose en particulier à Yamaha en ce qui concerne la moto ?
« Travailler avec Yamaha afin de régler nos problèmes et de davantage adapter la M1 à mon style de pilotage. C’est notre objectif avec Yamaha et ils sont motivés à faire de leur mieux pour que je sois devant. Je suis impatient de reprendre ! Nous verrons comment ça se passera mais c’est l’objectif. Améliorer la moto et faire en sorte qu’elle m’aille mieux. »
C’est toujours positif d’avoir un coéquipier tel que Jorge Lorenzo dans le garage et de son côté il affirme avoir de la chance de faire équipe avec toi…
« (Rires) Je crois que nous formons une très bonne équipe ! Honnêtement, l’ambiance a été très bonne cette année, tout comme la relation entre Jorge et moi. C’est l’un des meilleurs… pour moi, actuellement, c’est le meilleur. Cette année il a fait quelque chose de fantastique, même s’il n’a pas remporté le championnat, et je suis très content d’être dans le même team. »
La semaine dernière, tu as présenté le team Moto3™ Sky-VR46 chez toi en Italie, avec les deux pilotes, Romano Fenati et Francesco Bagnaia. C’est un projet très enthousiasmant !
« Oui ! Le projet a débuté comme une académie pour les jeunes pilotes et c’est un projet qui nous tient à coeur. Nous avons une bonne organisation et nous essayons d’aider les jeunes pilotes italiens à atteindre les sommets. Il y a ensuite eu l’idée de monter un team. Nous étions un peu inquiets au début - en fait nous le sommes toujours (rires) - mais c’est un bon projet, qui plaît à beaucoup de monde. Nous avons formé une belle équipe, avec des gens expérimentés, et nous allons essayer d’aider Fenati et Bagnaia à finir dans de bonnes positions l’an prochain. »
Qu’as-tu prévu pour tes vacances ?
« Rien de spécial ! J’aime beaucoup le snowboard et je vais donc aller à la montagne pendant l’hiver, faire un peu de snowboard et passer du temps avec mes amis. Ce sera vraiment très tranquille. »
L’année s’est malheureusement finie sur le tragique décès de Doriano Romboni…
« Ce qui est arrivé à Doriano me laisse sans voix, pour différentes raisons. Tout d’abord, Doriano était un héros quand j’étais petit. Notamment au début des années 1990, je suivais beaucoup le MotoGP™ et la catégorie 250cc était très réputée, surtout en Italie parce qu’il y avait (Max) Biaggi, (Loris) Capirossi et Romboni en même temps. »
« J’étais vraiment fan de Doriano et j’ai eu la chance de bien le connaître, c’était un bon ami de (mon père) Graziano. Il a toujours été très sympathique avec moi, j’avais dix ans à l’époque. C’était aussi dur de croire qu’un tel accident puisse se produire… perdre la vie dans une course à la mémoire de Marco (Simoncelli). Beaucoup de choses m’ont laissé sans voix et je suis très attristé par ce qui s’est passé. »

jeudi 28 novembre 2013

Article de GPinside.com disponible ici

Valentino Rossi : « c’est facile de manipuler une phrase isolée de son contexte »

28/11/2013 12:00Gregory Hellinx13
Il y a deux jours, à l’instar de tous les magazines MotoGP du monde, nous faisons écho à l’interview de Valentino Rossi où l’Italien déclarait qu’il déciderait de son avenir après les 6 premières courses de la saison.
Le pilote confirmait qu’il aimerait continuer pendant deux saisons supplémentaires mais pas à n’importe quelles conditions : « Si je veux rester ici et continuer à rouler au-delà de 2014, je vais devoir être aux avant-postes, plus près des trois premiers. De Février à Juin, les tests et les six premières courses seront cruciales pour décider si je continue ou si j’arrête la course en MotoGP à la fin de la saison. Je voudrais continuer pour deux années supplémentaires, mais seulement si je suis compétitif ».
Alors évidemment, hier, au Motoranch, lors de la présentation de son écurie Moto3, nos confrères italiens de GPOne lui ont demandé de préciser le fond de sa pensée. La réponse est assez surprenante !
« Cette interview, je l'ai donnée il y a un mois et étrangement, elle est sortie hier. C’est toujours facile de manipuler une phrase isolée de son contexte. Je n'ai pas dit quelque chose de nouveau, je veux continuer à rouler pendant deux ans après la saison prochaine. Mais pour ce faire, je dois être en mesure de me battre pour les positions qui comptent, être compétitif.
Je ne sais pas comment est arrivé le chiffre de six. Peut-être parce qu’en Juin, après 6 ou 7 Grands Prix, nous commençons à parler de la saison prochaine ».
« Manipulation » semble tout de même un bien grand mot car entre la première et la seconde interview, si différence il y a, elle n’a en tout cas rien de réellement fondamentale !  
Stay tuned !
Rejoignez-nous sur Facebook
Gregory Hellinx

mardi 26 novembre 2013












Article de MotoGP.com disponible ici

Rossi finit deuxième au Monza Rally Show

Rossi runner-up in Monza Rally Show
lundi, 25 novembre 2013

Le nonuple Champion du Monde Valentino Rossi a pris la deuxième place le week-end dernier au Monza Rally Show, où il courait sur Ford Fiesta RS WRC.

Vainqueur de l'évènement à trois reprises, Valentino Rossi a dû se contenter de la seconde place dimanche dernier lors de l'édition 2013 du Monza Rally Show. Au volant d'une Ford Fiesta RS WRC, le pilote du team Yamaha Factory Racing s'est incliné face à Dani Sordo, qui court avec le Citroën World Rally Team, avec 10.6s de retard sur l'Espagnol.
Epaulé par Carlo Cassina au poste de copilote, Rossi a aussi fini deuxième dans le tournoi Master's Show, derrière Sordo, tandis que le pilote d'endurance Rinaldo 'Dindo' Capello (Citroën) complétait le podium.
« C’est l’un des grands moments de l’année, » a déclaré Rossi. « Ici je peux courir contre mes amis et il y a très peu de pression. C’est dommage que nous n’ayons pas gagné mais je suis fier d’avoir remporté quatre étapes. J’ai aussi pu voir tous les fans de rallye et de MotoGP™, c’était génial, je reviendrai l’an prochain ! »

lundi 18 novembre 2013

Article de GP Inside.com

Article de GP inside.com disponible ici

eremy Burgess : "Valentino essaye de faire quelque chose dont il n'est peut-être plus capable"

18/11/2013 17:15ExclusifGilles Della Posta6
Le 10 novembe dernier, les Grand Prix moto ont sacré 3 nouvaux champions du monde. Dans la coulisse, ce jour mettait également fin à une association vieille de 14 ans, entre Valentino Rossi et son chef-mécanicien, Jeremy Burgess. Ensemble, les 2 hommes ont dominé les GP moto dans les années 2000, cumulant 7 titres en catégorie reine. Pourtant, quelques heures avant le début du dernier week-end de la saison, l'italien a annoncé à son partenaire qu'il s'agirait de leur ultime aventure commune. Face à la presse, l'Australien a fait bonne figure. A la veille de sa dernière course aux cotés de Rossi, Jeremy Burgess a partagé un long moment avec nous. Sans se départir de sa dignité, il s'autorise tout de même à lancer quelques piques savamment distillées à son protégé. Nous vous proposons aujourd'hui de découvrir la première des 3 parties de ce moment unique. Dans les lignes qui suivent, Burgess nous dit ce qu'il pense de Valentino Rossi, de sa décision et des chances qu'il lui donne de réussir.

GP-Inside : Jeremy, quelques jours se sont écoulés depuis l'annonce de votre séparation avec Valentino Rossi, on imagine que vous avez eu un peu de temps pour penser à cette décision et à ce qu'elle implique pour vous ?
Jeremy Burgess : "Oui, sur le coup, ça a été un vrai choc. Je lis beaucoup de biographies et je savais que cela pouvait arriver même si je ne m'y attendais pas. Je sais que les sportifs de haut niveau, lorsqu'ils approchent de la fin de leur carrière, sont souvent tentés de changer d'entraineur. Un ami, Darren Cahill, avait été recruté par André Agassi pour l'entrainer lors de ses deux dernières années. André voulait poursuivre sa carrière mais le changement d'entraineur n'a pas abouti à ce qu'il espérait. Dans le cas précis de Valentino, il veut, il croit, ou il a besoin d'un gros changement pour tenter de retrouver le statut qui était le sien. Il sait qu'il prend un gros risque mais il a besoin de tenter quelque chose. De ce point de vue, et avec ma connaissance de ce que font les autres sportifs de haut niveau, je comprends ce qu'il essaie de provoquer".

GP-Inside : Vous pensez que dans le cas de Valentino, cela peut fonctionner ?
Jeremy Burgess: "Je peux simplement dire que je l'espère, et que c'est sans doute la bonne décision".

GP-Inside : Vous l'espérez vraiment ?
Jeremy Burgess: "Oui vraiment. J'ai un respect immense pour Valentino, pour ce qu'il a fait dans le passé, car il a accompli des choses merveilleuses. Mais on sait également qu'il est aujourd'hui beaucoup plus proche du terme de sa carrière que de ses débuts. Comme tous les sportifs qui arrivent à ce stade de leur vie, il ne comprend probablement pas pourquoi ses adversaires sont plus rapides que lui. Lui, il se dit :  "Je suis certain d'en être toujours capable, je peux soulever 60 kg à bout de bras, je peux faire tout ce que je faisais il y a 10 ans, et il y a même des choses que j'arrive à mieux faire". Mais quelque part dans le "processeur Valentino", les informations n'arrivent plus aussi vite. En Australie, on dit que le "gène de préservation" se met en fonction dans le cerveau à partir de la trentaine, c'est là qu'ils deviennent plus vulnérables, et on voit ça chez tous les sportifs".

GP-Inside : Et vous n'avez aucun ressentiment sur cette décision ?
Jeremy Burgess : "Absolument aucun. Si cela fonctionne, ce sera parfait. Cela signifiera que c'est dont il avait besoin et j'en serai très heureux. Et si cela ne fonctionne pas, cela fera partie des choses qu'il fallait essayer. Quoiqu'il arrive, pour moi, c'est une décision qui est positive car elle apportera des réponses".

GP-Inside : Si Valentino remporte le GP du Qatar, en ouverture de la saison 2014, comment le vivrez-vous ?
Jeremy Burgess: "Je serai réellement très content que cela arrive ! J'étais ravi quand il a gagné à Assen cette saison. Mais le principal, c'est d'arriver à être constant sur les 18 épreuves du championnat. Et c'est sans doute précisément dans ce domaine que les sportifs en fin de carrière souffrent le plus. Il sera toujours capable d'associer tous les éléments sur un week-end de course, mais pas forcément sur une saison entière. Et surtout la pression qu'il doit subir maintenant de la part de pilotes comme Lorenzo, Marquez ou Pedrosa est colossale. Ils forment un groupe de 4 pilotes au-dessus du niveau des autres, mais Valentino n'est pas suffisamment proche de la 3ème place à chaque épreuve. Si on regarde ce qu'il s'est passé à Valencia durant la 4ème séance d'essais libres, Valentino a été le plus rapide dans certaines sections du circuit. Ensuite, 15 minutes plus tard, en qualification, les autres ont été capables d'améliorer de 3/10èmes de seconde dans un seul secteur, alors que notre chrono n'a progressé que de 1/1000ème... On sait qu'ils roulent avec les mêmes machines, il n'y a pas de "super-réglage" pour la qualification, ce sont exactement les mêmes motos que 15 minutes plus tôt, donc ils arrivent à aller chercher autre chose. On ne sait pas ce que c'est, mais si on arrivait à le savoir et à le mettre en bouteille, on gagnerait des millions de dollars ! Ils ont ce petit truc en plus..."

GP-Inside : Valentino n'était pas chez Yamaha ces deux dernières années, on dit que la M1 est donc faite davantage pour Jorge Lorenzo que pour Rossi, qu'en pensez-vous ?
Jeremy Burgess: "La moto a beaucoup évolué mais on exploite maintenant le "control tyre" qui ne permet par à Valentino de freiner de la manière dont il aime le faire. Casey Stoner et Dani Pedrosa n'ont pas du tout apprécié, eux non plus, ce changement. Mais Honda a réussi à adapter leur moto à ce pneu et Jorge Lorenzo s'est lui aussi adapté à son utilisation. On exploite maintenant une base de réglages très proche de la sienne. Sur les 10 dernières séances de qualification, il y a eu des progrès mais on a toujours un léger déficit qui fait que nous partons 4ème sur la grille en général et qu'à l'arrivée, de manière générale également, on termine en 4ème position. La moto est telle qu'elle est, et dans le même stand que nous, il y a  le champion du monde sortant qui exploite cette machine avec ses défauts et ses qualités. Si Valentino avait été un jeune pilote, on l'aurait encouragé à piloter de la même manière que Jorge. Quand nous sommes revenus de chez Ducati, on a beaucoup joué avec les réglages de la moto. Chez Yamaha ils ont essayé de reproduire les caractéristiques de la M1 avec laquelle nous roulions en 2010 et ça a bien marché au Qatar pour le premier GP de la saison. Le problème, c'est que nous n'avons pas vraiment compris pourquoi cela avait aussi bien fonctionné. La moto était également très performante à Assen, mais sur les autres épreuves, on a toujours passé beaucoup de temps à modifier les réglages pour tenter de trouver des solutions, et je crois qu'avec tout ce que l'on a fait, Valentino a peu à peu perdu ses repères, et tout le monde autour de lui a suivi la même voie. Il était à la recherche de sensations qu'il avait connues dans le passé, mais il a changé lui aussi. Sur les 8 derniers Grand Prix, nous sommes revenus vers des bases exploitées par Jorge, mais quand on compare les chronos, Lorenzo est généralement 4/10èmes plus vite que nous et on retrouve aussi cet écart lors des qualifications. C'est la vie. Si on arrivions à comprendre exactement ce dont nous manquions, évidemment que nos résultats seraient meilleurs. Mais rien ne dure éternellement dans la vie d'un homme. Une porte se ferme et une autre s'ouvre... Je n'ai absolument pas perdu ma passion pour tout ce qui se passe dans le paddock, ou sur la piste, pour la course en elle-même. Je suis toujours aussi passionné par la technologie de ces machines. La cadence que l'on peut avoir en course n'est que le résultat du travail de développement que l'on fait en amont. J'adore tout ce qui concerne ce travail de développement de la moto mais ensuite c'est aux garçons qui sont sur les motos de faire la course avec les machines qu'on leur fabrique".

GP-Inside : Au détour de certaines de vos réponses, on a le sentiment que vous êtes soulagé par la décision que Valentino a prise, c'est exact ?
Jeremy Burgess: "D'une certaine façon, oui. Je me suis toujours beaucoup inquiété de la sécurité de mon pilote. On a vu trop d'accidents horribles en moto et je sais très bien que si Valentino venait à se blesser grièvement, les gens se demanderaient immédiatement "pourquoi il ne s'est pas arrêté plus tôt ?". Rendre à Graziano et Stefania, ses parents, un Valentino en parfaite santé, c'est un soulagement. Surtout après avoir vécu le drame que l'on a connu avec Mick Doohan, je ne voulais pas revivre ça. Quand on sent que Valentino essaye de faire quelque chose dont il n'est peut-être tout simplement plus capable, c'est inquiétant. Lui, il est convaincu de toujours pouvoir être champion du monde, et j'admire cette conviction. Mais moi, je ne suis pas un homme de foi. Je suis un homme qui veut qu'on lui prouve les choses. Quand quelqu'un me dit "Je peux le faire", je lui réponds : "Montre-moi que tu peux le faire". Valentino n'a pas pu m'en faire la démonstration. On voit bien qu'il essaye, il fait tout ce qu'il peut, mais ça l'emmène en dehors de sa zone de "confort" alors que Marquez et Lorenzo n'en sont pas encore sortis. Valentino a eu tous ses succès en restant toujours dans sa zone de confort, ce n'est plus le cas. On voit bien maintenant en passant d'un circuit à un autre qu'on retrouve toujours les quatre mêmes noms en haut de la liste des temps, avec Crutchlow qui vient de temps en temps s'intercaler. En fin de week-end, la plupart du temps on a Marquez, Lorenzo, Pedrosa puis Valentino Rossi. Valentino donne tout ce qu'il peut, il a fait une très longue carrière, mais aujourd'hui il a 34 ans".

GP-Inside : Vous pensez qu'il risque de quitter sa "zone de confort" pour entrer dans une "zone de danger" ?
Jeremy Burgess: "Je ne veux pas parler de "zone de danger". On sait que les sports mécaniques sont dangereux. On ne peut pas déplacer un corps humain à de telles vitesses sans risque. C'est important de toujours garder ça à l'esprit. Barry Sheene disait : "Plus tu passes de virages dans ta vie, plus la probabilité d'être impliqué dans un accident est importante". On fait en sorte que tout se passe bien. Mais tous les pilotes doivent comparer leur implication, qui est de 100% pour Valentino, et les résultats qu'ils obtiennent en retour. Si, en me donnant à 100%, sans qu'il  me soit possible de donner un fragment de plus, je ne parviens pas à obtenir le résultat que j'espère, c'est que le moment est venu de remercier tous ceux qui  vous entourent et de se retirer en laissant le souvenir du grand champion que vous êtes. Peu importe que vous fassiez du football, du baseball, du cricket ou du basket-ball, chaque athlète, doit, à un moment dans sa carrière, prendre ce genre de décision. Je ne sais pas si Valentino doit prendre cette décision maintenant, mais il devra le faire un jour où l'autre. Il ne faut pas avoir peur de cette décision parce qu'on sait très bien, dès que l'on commence dans une voie, qu'il faudra arrêter un jour".

GP-Inside : Quelle a été la réaction des autres membres de l'équipe Yamaha ?
Jeremy Burgess: "J'ai parlé avec Nakajima (le responsable de l'équipe Yamaha Factory, NDLR) et chez Yamaha, ils sont sous le choc de cette nouvelle. Cela étant, quand on a un pilote comme Valentino, votre devoir est de mettre toutes les chances de son coté sinon cela ne peut pas fonctionner. Je crois que tout le monde est impatient de savoir ce qui va se passer. On sait que la moto est capable de gagner des courses, on le voit grâce au travail de l'équipe qui est de l'autre coté de notre garage. Il faut surtout souhaiter que Valentino puise suffisamment de motivation dans ce changement, que cela lui donnera l'impulsion dont il a besoin pour gagner en 2014. Cela va encore être une très longue saison pour tous les pilotes. On a vu que beaucoup d'entre eux se sont blessés cette année, ce que nous avons réussi à éviter, et pourtant nous ne sommes que 4ème du championnat. Ces garçons là, Lorenzo, Marquez, Pedrosa, sont redoutables"
Stay tuned !
Rejoignez-nous sur Facebook
Rejoignez-nous sur Twitter

Gilles Della Posta

De retour pour vous jouer de mauvais tours.

Cher lecteur, lectrice,

Comme vous avez pu le remarquer, je n'ai pas mis à jour le blog depuis un bon moment. J'ai eu quelques problemes personnels sur lesquel je ne m'attarderais pas. Je ne rattraperais pas mon retard sur la deuxieme partie de saison mais je compte bien reprendre l'actualisation du blog de manière très régulière.

En attendant le reste, voici un article de GPinside.com que vous trouverez ici

Amici del Sic – Nazionali Cantanti, 4-2. Fondation du Sic, 72.500€ !

18/11/2013 10:00Gregory Hellinx3
Comme nous vous l’écrivions il y a quelques jours, c’est hier qu’a eu lieu, à Parme, la rencontre de football entre les amis de Marco Simoncelli et l’équipe des chanteurs italiens.
La rencontre, qui avait évidemment pour but de récolter des fonds pour la Fondation Marco Simoncelli, s’est terminée sur une victoire des ‘Amici el Sic », 4 – 2, mais surtout avec une bien belle somme en caisse puisque ce sont près de 72.500 euros qui auront été récoltés.
Retrouvez quelques photos de l’évènement dans notre galerie ci-dessous.
Stay tuned !
Rejoignez-nous sur Facebook    
Gregory Hellinx

Voici quelques photos de l'evenement.







mardi 27 août 2013

Bien le bonjour cher lecteur!

Je voulais simplement vous écrire aujourd'hui, car je ne peux pas ces jours ci mettre à jour le blog ou le tumblr. Ces dernières semaines j'étaient en vacances loin de la civilisation web donc pas de connexion et je suis en train de déménager donc il m'est impossible de mettre le blog à jour. Tout devrait revenir à la normal d'ici la mi septembre.

En comptant sur votre fidélité.

S.

lundi 22 juillet 2013

Article de GPinside.com disponible ici

Rossi à Suppo : « avec Stoner vous m’avez cassé les c… et maintenant ?

22/07/2013 19:28Gregory Hellinx2
Livio Suppo et Valentino Rossi n’ont jamais été de grands amis et il aurait été difficile d’en être autrement puisqu’avant de devenir Team Manager de Repsol Honda, l’Italien présidait aux destinées de Ducati en Grand Prix.
C’est sous sa direction qu’en 2007, Casey Stoner devenait champion du monde et c’est sous son impulsion encore que l’Australien rejoignait le HRC, en 2011.
C’était donc lui qui, en 2008, lors de l’épisode qui avait opposé Stoner à Rossi, dans le corkscrew, avait été pris dans la tourmente médiatique qui s’en était suivie.
Le hasard des choses fait donc que depuis hier et le dépassement de Marquez sur Rossi, dans le Corkscrew et en dehors de la piste, comme en 2008, il se retrouve dans la situation inverse à celle vécue au côté de Casey Stoner.
On se rappelle qu’à l’époque, Stoner et Suppo avait crié, à raison ou à tort, chacun se fera son opinion, au scandale et au dépassement illégal.
Alors évidemment, hier, Valentino Rossi, à qui il faut reconnaître un certain talent médiatique, profitait de la conférence de presse pour régler un vieux compte avec un de ses meilleurs ennemis.
« Je voudrais un peu parler du dépassement, surtout avec Livio Suppo », déclarait-il en riant. « Toi et Stoner, vous m’avez cassé les couilles pendant deux ou trois ans environ à propos de ce dépassement parce que j’avais coupé le virage. Alors, qu'est-ce que tu en dis aujourd'hui, Marc devait être disqualifié. »
Un peu déconcerté, Suppo, assis dans le public, répondait: « Je te remercie pour la question et je remercie Marc parce qu’après quelques années, il t’a rendu la pareille! »
Rossi terminait alors dans un éclat de rire avant d’ajouter, en bon perdant : « Non, je crois qu’en 2008 j'ai fait l'un des meilleurs dépassements - je veux dire, de l'histoire, peut-être - et aujourd'hui, Marc a fait la même chose. Vous savez, quand vous faites un dépassement comme celui-là, vous devez prendre un risque et peut-être que tout n'est pas toujours parfait pour les règles.
Je pense qu'il est juste de pouvoir faire ce genre de dépassement ... Nous devons pouvoir le faire sans avoir de problème avec la Direction de Course ».
Voilà qui est dit…et puis, si vous, vous avez également envie de commenter ce dépassement, ou bien les propos de Rossi adressés à Lvio Suppo, veillez à le faire dans le respect de l'élementaire courtoisie. 
Stay tuned !
Rejoignez-nous sur Facebook
Source : crashnet 
Photos : Jeremy Lescur
Gregory Hellinx












Article de PitlaneOrganisation.be disponible ici

Quand Rossi s'adresse à Livio Suppo ca donne ça !

Écrit par  
Évaluer cet élément
(0 Votes)
Quand Rossi s'adresse à Livio Suppo ca donne ça !
La vengeance est un plat qui se mange froid dites-vous ? 
Valentino Rossi s'adresse à Livio Suppo : "Toi et Stoner m'avez brisé les c***** en 2008, donc j'aimerais savoir ce que tu penses du dépassement de Marc ?"

Marc Marquez au sujet de ce dépassement : "Je lui ai déjà dit, je lui paierai les droits d'auteur."
No comment !
Sources : MCN, BBC.